L'intégrité et la transparence sont fondamentales pour toute entreprise respectueuse d'elle-même. La mise en place d'une politique de lutte contre la corruption est devenue un élément essentiel du reporting ESG. Cet article vise à clarifier comment une entreprise peut confirmer l'existence et l'application de telles politiques.

1. Comment répondre à cette question ?

Pour fournir une réponse précise, les entreprises doivent :

1. Examiner les politiques internes : Identifier et examiner toute politique ou procédure traitant de la corruption et de la fraude.

2. Évaluer la mise en œuvre : Déterminer si ces politiques sont pleinement opérationnelles, sont en cours de développement ou n'existent pas.

3. Fournir une réponse claire : Sélectionnez 'Oui' si une politique est en place, 'Non, en cours de développement' si elle est en cours de préparation, ou 'Non, non mise en œuvre' si aucune politique n'a été adoptée.

2. Pourquoi est-ce important ?

Une politique de lutte contre la corruption efficace est un signe que l'entreprise prend au sérieux les risques juridiques et éthiques liés à la corruption. Elle renforce la confiance des investisseurs, des clients et des autres parties prenantes.

3. Exemples :

- Exemple A : Une entreprise du secteur de l'énergie a mis en place une politique stricte interdisant la corruption, avec une formation annuelle pour tous les employés. Cela correspond à une réponse 'Oui'.

- Exemple B : Une startup technologique est en train de rédiger ses premières directives sur la corruption et n'a pas encore formé son personnel. La réponse appropriée serait 'Non, en cours de développement'.

Affirmer l'existence d'une politique de lutte contre la corruption démontre l'engagement de l'entreprise à opérer de manière éthique. C'est un aspect crucial du reporting ESG qui souligne la responsabilité et l'intégrité de l'entreprise dans ses opérations.

IE 21.1. Policy on anti-Discrimination and equal opportunities

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